Urgence psychiatrique avec nécessité d’une prise en charge somatique (intoxication, blessure, altération de l’état général, etc)

CHU - Hôpitaux de Rouen Hôpital Charles Nicolle 

1 rue de Germont
76031 Rouen cedex

02 32 88 89 90

Accueil 24h/24.

Urgence psychiatrique avec présomption d’hospitalisation, sans nécessité d'une prise en charge somatique

Unité d’accueil et d’orientation (UNACOR) 

4 rue Paul Eluard
76300 Sotteville-lès-Rouen

02 32 95 18 33

Accueil 24h/24.

Urgence psychiatrique, sans présomption d’hospitalisation

Centre d’accueil et de soins psychiatriques Saint Exupéry (CASP)

3 Place de l'Église St Gervais
76000 Rouen

02 35 98 01 05

Accueil du lundi au vendredi de 9h à 17h.

C.H du Rouvray 02.32.95.12.34
URGENCES
15
A+ / A-
Partager sur :
  • Accueil
  • Le Musée Art et Déchirure rouvre ses portes !

Le Musée Art et Déchirure rouvre ses portes !


Après quelques mois d'hibernation, le Musée Art et Déchirure a rouvert ses portes pour mettre en avant une merveilleuse collection d'art brut.

Pour les fondateurs de l’association gestionnaire du musée, l’art brut regroupe les formes d’expression issues du monde du trouble mental, de la marge, de ce qu’ils ont nommé la déchirure de l’être. Ces œuvres sont souvent nées dans l’urgence et la souffrance, et sont exceptionnelles tant par la personnalité des artistes que par les techniques ou les thématiques retenues. Elles témoignent d’une étonnante puissance créatrice.

Implanté au cœur du Centre Hospitalier du Rouvray, le Musée Art et Déchirure présente les œuvres de sa collection rassemblées au fil de 30 ans du festival du même nom.
À cet ensemble réunissant des œuvres d'art brut s'ajoutent des expositions d'artistes invités aux mondes très personnels qui interrogent et interpellent le visiteur.

La première exposition de cette réouverture est celle d'André Robillard, artiste passé maitre de l'art brut.
Exposition visible jusqu'au 24 septembre 2023.

 

Découvrez l'article du Parisien : Près de Rouen, le Musée art et déchirure (MAD) rouvre ses portes à l’hôpital psychiatrique - Le Parisien